Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

MEGALOMANIA

15 mai 2009

Something is not right with me

Profusion elliptique d'idées redondantes, bal sournois d'images abstraites...

Je constate peu à peu chaque seconde que je suis en profond décalage avec vous. Je ne comprends plus. Vous, eux, moi. Je deviens cinglée. Je suis dépassée par tout ce qui arrive, les temps sont durs pour ceux qui rêvent un peu trop. La réalité me rattrape, elle prend de la vitesse, elle me frôle, elle gagne du terrain, je glisse, je trébuche, je tombe.


Je n'arrive plus à réfléchir.
Tout s'embrouille dans mon esprit, estompant l'unique parcelle de raison qu'il me restait. Ça peut se comparer à une plume, légère et imprevisible.
On la désire tellement qu'on ferait tout pour l'attraper au vol mais au moment ou nos doigts éffleurent son duvet , elle nous échappe et disparrait par dessus la berge.  En la regardant continuer sa course, on se rend compte que peu importe ce qu'on fera, jamais rien n'y personne ne pourra te la rendre.
La situation crée un manque , une agonie maladive sans remède ni conclusion, sans histoire ni raison.
Remplaçons la plume par une personne et le vent par la maladie, voyez-vous , maintenant?
Elle était un peu marginale , avant , mais elle comprend qu'il ne s'en tient aucunement à une façon de penser. La réalité vous frappe comme une bourrasque et disparait comme une brise mais laisse sur nos coeurs sans mot, des fissures inguérissables et imparfaites.
La route est longue et ardue mais met toujours sur notre chemin , une autre plume tout aussi belle que la précédente.

Publicité
12 janvier 2009

Never Think

2194706147_small_1

I'd almost forgotten. I'd almost forgotten how it was to be here. This land is quite a legend for me now, for I see it with a total different look. I know i'm not able to find any outlet here but still, it's mys "hometown" as we say. I like it in the morning, I like it at noon, in the afternoon, and most of all at twilight. There is that light everywhere, that pastel light I've not seen for a long time. That light there is only here. Here, the place where I grew up.
When I thought I had found myself. The hills, the woods, the beasts. When I come back, I'm always surprised. I feel like a New Yorker in the Amish Community. Something is just not right. Most of the people here seem to suffer from sclerosis. There's nobody on the streets, nobody's talking except for complaining. There are no children, all are gone and no wonder why. But's it's a beautiful land.

When you wake up in the morning, you seem to be in heaven. "It's oh so quiet", just like the song. It's the time of the year when the birds begin to fly at 6am. Actually, the don't even fly. The litteraly dance. This morning, as I unwillingly emerged from my sheets, two of those birds I can't even name stopped on my window. The always do it when I put that music on. That music with th toys in the back. That cheered me for all day, despite the grey clouds that surrounded me. That's just the way it is here.
Everything breathes differently, as if you were wandering in a total different world. Like in a fantasy. Time seems to have stopped in the late 50's, the smell of wisterias is not spoiled by the gas, the air is light and fresh. It feels like your lungs are defying gravity. And once I'm back here, I feel just like a child on christmas morning. Ready to open his gift, excited and craving for something new.

All here is flower and fat green grass. The hills are surrounded with white and multicoloured flowers. Trees are not yet awake, they're  not aware that springs has come. But it's always like that. They stay still for a long, long time, but when the do awake, the do it just perfectly.
There is that river passing by my garden. It's rare actually. Every seven years or so. Legend has it that back in the 12th century, a young girl was running away from a wolfe and that she drowned in that river. She was seven. And now, the river comes ever seven years,just to remember the childhood left behind. This place is totally that for me. Lost childhood. I grew up here, I made who I am here, but it's no longer my home. It's a place of memory, a place I love.

2032012249_1

19 décembre 2008

It's a curse

L'absurdité de cette existence est trop souvent oubliée. La beauté, lorsqu'elle n'est pas entretenue par l'éveil des sens s'endort. Elle court cacher ses étonnantes quintessences, recouverte par d'affreuses couches superflues que l'homme lui-même a déposées. Une fois dissimulée, on ne peut plus l'atteindre. Parfois l'effusion des mots aboutit, avec un long travail et une lutte constante, à la vague perception d'une ombre. Une image noire en mouvement que la vue ne peut pas suivre. Notre rythme cardiaque s'accélère, de fines gouttes de sueurs descendent le long de ce corps aux aguets maintenant oublié. On a beau faire, on a beau dire elle ne nous attend pas, pour la simple et bonne raison qu'elle ne nous voit pas. Nous sommes bien trop laids, bien trop factices pour une telle intelligence, rares sont ceux qui l'ont touchée du doigt sans sombrer dans une terrible folie. Pour elle nous ne sommes que des vieux ours mal léchés, rien de plus. On a beau dire elle n'écoute pas. On a beau essayer de courir, tenter de la rattraper, elle nous échappe, et c'est d'autant plus frustrant qu'elle nous attire. L'esprit est alors lavé de toute image, de toute croyance, de tout symbole, de tous les mots, des répétitions, de toute peur. Ce que l'on voit est réel. Dans ces moments là plus rien n'a d'importance, nous ne pensons plus à l'existence, tout nous échappe. Peu importe la mort, peu importe cette rude aventure qu'est la vie. Nous ne sommes plus, et pourtant nous n'avons jamais été aussi vivant, aussi présent dans l'instant. La pyramide des sens s'affole, s'élève sous le soleil brulant d'une Égypte morte, où pourrissent les pharaons endormis par la mystification mondiale. Nous ne savons pas voir autre chose que ce qui nous est montré. Pourtant la beauté est partout, là où la vie est présente. Dans le battement d'aile des oiseaux, dans l'extreme perfection des fleurs et plus vastement de la nature, dans l'esprit et ses subtils secrets, parfois même dans les luttes incessantes entre les hommes. Mais en général, nous nous préparons à n'en appréhender qu'un petit recoin. Personne ne nous rappelle que la splendeur du monde est à côté, faute de quoi nous ne voyons plus rien. Les âmes deviennent aveugles.


2120352313_small_1

29 octobre 2008

Jimmy

photo_39950915_32

La danse reprend. Comme chaque matin les résidents fuient le centre, repoussés par l'envahisseur au sourire ravi, prêt à l'immortaliser à chaque instant.
Sous terre, l'infection se répand, les déserteurs las sont assis, un bouquin à la main, bravant aggacés ces vacanciers dont ils ne comprennent pas la langue.
Ces bactéries agglutinées sur quelque bâtiment en décomposition s'en régalent, se pourlèchent, mais leur faim presque insatiable conduit les bourdonnant vers d'autres nectars, plus juteux encore.
Le couvre-feu retentit, la musique s'arrête, chacun cherche à s'asseoir comme dans le fameux jeu d'enfants. L'horloge indique deux fois le douze et il n'y a pas de perdant. La ville se repose, embarque les touristes dans le flôt continu de ses veines et artères automobiles. Elle respire et respire pour mieux se faire piétiner car voilà que la masse rassasiée se relève. Une nuée d'orage s'abat sur la ville et assombrit les champs de coquelicots éphémères. Les fleurs ploient sous le vent de leurs égarements, reliées à la terre par leurs pieds fatigués.
Un inépuisable regain d'énergie semble les ranimer quand passe le défilé d'ouvriers. Cette marche ridicule de petits soldats alignés, les danseurs et danseuses aux sacs-à dos la transpercent de toutes parts, tissant au passage une soie rugueuse drapant la ville pour la soirée.
Le claquement des hauts talons résonne et les effluves de la campagne parviennent aux citadins. S'ils ne la sentent pas, ils l'observent car la basse cour s'anime. Les coqs se recoiffent et la crête gominée, bombent le torse pour flâner d'un air pataud. Les dindes, elles, se font avoir et roucoulent gaiement. Les derniers reflux  de la ville s'écoulent tels de petites vagues persistantes qui se brisent sur la pierre des pavés pour laisser s'embrasser les ultimes lueurs des lampadaires avant celles du crépuscule qui s'annonce déjà.

La ville ne se tait jamais.

1938374311_small_1

25 octobre 2008

Count in fives

C'est fou tout ce que l'on vit, tout ce temps digéré avec obligation et dégout, donc tout ce que l'on subit et qu'on ne voudrait pas pouvoir sentir.
C'est une question de route plate et d'attendre en voyant défiler le paysage individuel, d'attendre activement, de mettre la main à la pâte, ces besognes. Toucher les charognes. Les pétrir en s'oubliant. Se confondre en elles, voir avec ces pupilles crevées. Réaliser que nous sommes tout autant ces êtres qui avancent sans rechigner.
C'est fou cette incapacité à ne pas sortir de soi plus facilement. L'inné est pauvre, ou trop poussiéreux. On pourrait imaginer volant au-dessus des routes et gagnant bien vite l'embranchement. L'imagination est le salut de la perte. Et on me rétorquera : "Renoncement laid ! Prend de l'existentialisme !"

Le bonheur ivre ne se boit ici que par petites gorgées.
Trop c'est y prendre goût il parait.
L'absurde a des souliers cloutés. Et marque ses pas sur nous, on ne le remarquera  peut être jamais, et si par hasard cela nous est revelé, chacun criera comme au premier hurlement du premier jour.

Je ne pourrai jamais être sure de te comprendre entièrement et de ce fait j'arriverai toujours à la fin par te décevoir . Le parfait c'est l'impulsion d'un commencement éternel. Maintenant beaucoup de choses ont été gachées. Peut être qu'on naviguera toujours dans ces eaux. Océans faits par des mêlées de langues-rivières étrangères entre elles que tu manies en te foutant de la diplomatie, et puis mes langues-lacs étrangères à elles-mêmes. Je me dis toujours qu'il faut ouvrir tous les barrages, et laisser aller : vases, pulsions, idées...
Et puis une phrase vient assécher implacablement mes rus. Départ mal fait on ne change pas cela.
L'imperfection ici est une gêne car elle immobilise dans nos retranchements des élans immaculés ou noirs ! Je ne trouve plus les bonnes idées, tournoures délices-ratures, tout ça s'est asséché ; figure-toi ce n'est pas l'anesthésiant de la conscience. Je le vois mais mes bras sont ballants et les échéances me font avancer sans trépigner. Exaspération.

1483094390_small

Publicité
10 septembre 2008

Here

The same thing happening, all over again, never really stopped. What's wrong? If anybody knew, it would be much easier. But nobody knows, I don't know. It's something you didn't expect, something that strikes you and poison your life. You feel helpless, so helpless, because you don't know why. Is that him, is that you? Maybe both. You feel it's growing inside of you, everyday it becomes stronger and stronger and you know you won't escape it. There's no escape to that kind of things. You have to deal with it one day anyway. But the problem is, you don't know how to do that, how to find the strenght in yourself to fight it. The more you think about it, the less you feel you deserve it. So you walk, instead of fighting this, you walk, to think. And when you finally manage to think, it's worse. You'd like to be better than this, but you don't know if you still can. That's horrible.

1386260786_small

24 août 2008

Strawberry Swing

1756111928_small

C'est dans cet air ambiant de complicité consumée qu'offrait une mer calme d'après tempête, prompte cependant aux retournements que je fus renversée. Cette eau verte insinuait sur les brise-lames peu à peu recouverts qu'un fifrelin pouvait vous emporter à chaque instant. Je m'en détournais presque, à chaque fois que l'eau, vaguement trop pressante s'abattait sur mes jambes prêtes à glisser, avant de goûter enfin au plaisir peu avouable du risque et des interdits (quand les entrailles se rétractent, que les doigts se tordent pour mieux s'accrocher à cet instant qui échappe, se faufile entre le temps).
Débarquer dans un port (où la marchandise à peine amarrée disparaît) inconnu avec cette sensation de pouvoir commencer. Recommencer sa vie n'eût été que se leurrer et chose inutile, mais commencer à se retrouver soi comme l'on ne peut que l'être avec soi-même. Etablir une carte quasi-géographique de cette étendue se dressant orgueilleusement devant nous, une ville à découvrir, balayée par le sel comme un corps peut être gauchement exploré par une main moite.
Un sablier de taille égale à celle d'une oasis miraculeuse se retourna dix fois. Le temps (dont il fallait ben supporter l'humeur changeante) nous accorda de pouvoir tous nous apprivoiser, comme l'on observe un pommier avant d'en décrocher un de ses fruits, montant pas à pas à l'échelle de bois et d'examiner ces prémices scrupuleusement avant de s'en régaler.

Je m'interrogeais.
Etait-il possible qu'un homme droit ne se montre pas comme tel uniquement pour combler un manque ? Il avait cette allure d'homme qui d'un contact avec la terre puise toute sa force pour dévier les méandres de sa race dont il ne s'avait s'il devait en apprécier la grandeur, les arts, ou en renier la pauvreté d'esprit.
Sa tête semblait irrémédiablement fixée à ses épaules, des épaules capables de supporter le poids de lourds imprévus et la nuque massive. Il avait l'air de se moquer de nous quand nous jetions des pierres de cendres pour les voir se fracasser sur tel ou tel arbre en signe de notre agacement, refusant ainsi de s'abaisser à quelque pitrerie, mais aussi à un exutoire salvateur.

Pour quelque manière peu raffinée, je vous l'accorde, il s'écria : « Que voici une charmante façon d'agir », sur un air de reproche amusé, m'ordonnant implicitement de cesser de me donner en spectacle comme une pauvre femme. Les planches d'un théâtre voluptueux n'en auraient moins bien résonné. Cette unique représentation pourtant ne se jouait qu'entre lui et moi. Qui diable aurait pu comprendre qu'un tel abus de droiture nous réunirait tant ?
Je découvris ce qu'était de vouloir plaire à quelqu'un constamment, épiant ses réprimandes, jalousant ces rares compliments bafoués d'enfant poli qu'il adressait pourtant à ces commères en tenue de soirée. Plus rien ne m'importait, seul son jugement affectueux d'un homme sur son épouse. D'exister encore, pouvait seul le prétendre le désir de sentir encore sa présence au plus près de la mienne.

J'avais goûté à cette faiblesse dont on accuse les femmes, la tête haute pourtant. Maintenant, je me fichais éperdument de trouver une réponse à leurs médisances, de leur prouver qu'ils avaient tort.

1948990793_small_1

21 juillet 2008

Je sais que la terre est plate

WHAT AM I LOOKING FOR?


Tout d'abord, je n'aurai pas le temps. De dire tout, de dire rien. J'aurais à chercher le mot juste, gratter, jusqu'à la fin, jusqu'à la moelle, mais je ne veux pas. Je ne veux pas, je ne veux, je ne veux pas. Un peu de non-douleur, de non-ressentiment. Rien d'autre. Laisser la paresse m'envahir, le vide m'habiter. Mais un vide plaisant, léger, qui envahit sans prendre la place. Prendre la voie de la facilité commune, pour une fois. Sortir des sentiers non fauchés, aller voir le monde plat, complaisant. Vous vivez comment? , dites moi. J'aurais besoin de savoir comment vous respirer, comment tu fais pour sortir de ton lit chaque matin en sachant ce qui t'attends. En n'ayant aucune surprise. Que des attentes confirmées. Et fuck le doute, les remises en questions, les étonnements. Le plat monde. Sans courbe, ni relief. Sans accident, ni rebondissement. Et tout ça, juste pour un moment. Une seconde, une minute, je ne sais. Le temps de m'écoeurer, de vomir cette platitude, de cracher cette lassitude. Pour ensuite apprécier ce doute qui me ronge l'estomac, ce questionnement qui me pourrit la raison. Au moins pour un moment. Un court moment apprécier le tourbillon d'émotions qui me balaie, qui vente, qui mêle mes cheveux, qui pique mes yeux.

1840161947_3

22 juin 2008

Diabolic Scheme

Heureux qui comme l'Issue
A fait un beau dommage
Ou comme celui-là, qui conquît à foison
Et qui s'est détourné, plein de breuvages et de sons
Ivre entre ses talents, de la Peste de son âge !

Quand reverrai-je hélas, de mes petits voyages
Fumer le Chemin-Né, et en quelles hallucinations
Décloisonnerai-je les murs de ma pauvre Raison,
Qui m'est une porte mince, sur d'autres paysages ?

Plus me plaît les Jours que les bâtisses des aïeux,
Que nos palais acides feront fondre furieux,
Plus que les palabres d'ures me plaît l'Extase divine,

Moins la vieille gloire Gauloise que la Tamise au matin,
Plus le Jour Cueilli que l'affreux quotidien,
Et plus que leurs Desseins, la Lueur Sourde qu'on Destine

parks01

27 mai 2008

A modern myth

3

Puisqu'ici une image d'imagination fertile et facile règne, pourquoi ne pas prendre part au mouvement ? C'est ce cliquetis intransigeant du clavier qui décidera de la parution, de la mise en texte d'une ébauche en espérant qu'elle soit bonne. On espère, ça oui ! On s'acharne, on se bat contre un mur insurmontable derrière lequel (il est possible d'imaginer que) tout s'ouvre, tant la beauté du monde que sa bêtise.

C'est l'histoire du mec qui, avec sa petite cuillère, creuse non pas un tunnel, mais une échelle sur le mur : il sait qu'il ne saura pas descendre de l'autre côté, c'est trop haut, mais il aura vu ce monde de l'autre côté de la barrière.
Je m'épuise, mes poings saignent, rauques, secs, anguleux, cassés par endroits.

1741137808_smallMaintenant imaginez-moi dans trente ans : sans visage, pas de détails physiques, hors contexte familial, professionnel ou que sais-je encore. Pas de décors, pas de costume. Peut-être une chaise banale dans le noir, pas étouffant, neutre. Il est plus facile de s'imaginer une chose en lui attribuant une image. Disons, juste ce que je serais sans le savoir aujourd'hui. Serais-je devenue celle que je voulais être à dix, six ans? J'ai la hantise de me décevoir. Je ne saurais pas vivre de ça. On s'imagine beau ou avec beaucoup de charme, discretion, charisme et grâce, soutenu par une épaule protectrice, résister à tout, avec le métier de nos rêves en prime, une famille et du temps pour nous s'il en reste. Après tout, qui décidera ? Moi ? La vie, probablement.

J'accepte le destin, s'il existe, car s'il a quelque dessein universel, on n'est pas forcément tous perdants. Sourire à un jeu de cartes où les deux adversaires, s'épiant fixement, traquant chaque signe de la part de l'autre, finissent tous deux gagnants, avec des intérêts différents, chacun fier de la sienne sans jalouser la réussite de l'autre. Se battre et réussir.

Se battre mais réussir.

J'ai peur de moi. Un flou m'entoure. Le besoin d'une part, l'envie lui faisant face, s'arrachent chaque organe de mon ventre. Je suis le bétail, on cherche en moi le meilleur morceau à consommer. Vendre à prix fort. On me fouille tout le temps, constamment, perpétuellement ses mains, ses ongles se balladent dans mes intestins, y laissant le sang dont elle s'étaient laissées tâcher.
On continue, j'avance sans savoir. On s'imagine, j'espère sans exactitude. Je, réaliste, ne demande pas l'impossible, mais le voulu.

Vouloir, voyez, voyeurs.

1658771306

Publicité
1 2 3 4 5 > >>
MEGALOMANIA
Publicité
Publicité